mercredi 9 septembre 2009

Les Photos de l'appartement que j'escompte acheter avec mes indemnités


Vue à gauche du balcon
Salle de bain








Vue à droite du balcon




Balcon















Chambre







Salon








Cuisine américaine












Autre vue du salon




Nouméa le : 07/09/2009
Mademoiselle MAURY Corinne Dominique
GSM : 687 85 51 13
productioncdm@yahoo.com
cdmproduction@gmail.com
FACTURE PROFORMA
Objet : Pro forma prix de vente d’un bien visité le vendredi 4 Septembre 2009
* Appartement de type F2 de 47 .53 m² (Loi Carrez) comprenant :
1 cuisine américaine semi-équipée – 1 Pièce principale – 1 chambre climatisée avec
volet roulant et placard – 1 salle de bain – 1 WC plus une terrasse de 15 m²
plus une buanderie de 1.95 m².
* 1 parking en souterrain
* 1 cellier de 3.59 m²
Sise Résidence LE MONIN - rue Monin – Orphelinat à NOUMEA ( Nelle Calédonie)
Prix de vente 26 500 000 F.CFP
(hors frais de notaire entre 10 et 12%) (222 070 euros)
AUTRAL IMMOBILIER
Fabienne PERY GSM 75 28 25

dimanche 29 mars 2009

PETITE LETTRE AU GOUVERNEMENT ET AUX AUTORITES JUDICIAIRES

1/La Sacenc n'a pas enregistré l'intégralité de la diffusion de mes titres dans ses bases de données et tous les éléments pour ce faire leur avait été fournis entre 2004 et 2007.

2/La Sacenc n'a pas tenu compte de la diffusion de mes titres en radios cafés restaurants et magasins et de mes ventes publiques.

3/La Sacenc n'a pas tenu compte des droits de mes passages en concerts.

4/La Sacenc se doit de fournir les règles de calcul.
Le calcul se doit d'être effectif et numéraire envers ses membres et il doit correspondre à:

Combien percoit-on pour un passage en radio? Pour un concert? Pour une diffusion en cafe restaurant magasin lieu public?

5/Que la Sacenc dispose de statuts propres en Nouvelle Calédonie soit.

Mais cette règle de droit se doit d'exister.

D'autant plus qu'entre 2004 et 2007 ces règles de calcul correspondaient à celles de la Sacem France qui a géré informatiquement et traité le paiement de tous les droits de tous les membres de la Sacenc.

En référence au bilan de la cour des comptes de 2006 et celui de 2008 de la Sacenc, je réclame le paiement de mes droits dans leur globalité.

Les versements qui m'ont été fait de 1444E 1447E et 15E ne sont pas corrects.

Et je n'ai pas beneficié non plus des 4 paiements par an ie mes droits d'éditeur faisant défaut à mes paiements.

6/De plus uniquement 6 chansons de mon répertoire ont été déclarées par les services de la Sacenc alors que:

j' ai déclaré et que j'ai publié auprès de leur services entre 2004-2007 plus de 21 chansons en tant qu'auteur compositeur et arrangeur et éditeur.

J'ai édité 17 chansons en tant que reprises, celles-ci ont été publiées et compte tenu de la loi, la Sacenc doit considèrer la valeur rajoutée apportée en Jazz, c'est à dire 35% des droits de l'auteur compositeur. Ils doivent être calculés et m'être reversés en tant qu'arrangeur et pour la qualité d'improvisation comme le prévoit la loi. De même pour mes droits d'éditeur.

7/Le versement des droits aux membres est considéré comme un salaire.

Je réclame donc de nouveau l'étude de mon dossier sachant que la Sacenc me doit au minimum 7.000.000FCFP pendant le temps de son mandat de gestion de la perception de mes droits 2004-2007 si ce n'est plus.

D'autre part, je tiens à préciser que la Sacenc ne pourra exister correctement sans la représentation des droits de l'interprète sur le territoire ie Adami ou Spedidam (en France) et ceux du Producteur Scpp ou Sppf (en France).

Car les paiements des droits envers les uns ou les autres sont indissociables suivant les accords, les contrats de droits passés entre les uns et les autres.

Je tiens à préciser que depuis janvier 2009 je suis membre de la SABAM en Belgique N°518720750 et que depuis 2007 je suis membre de la SCPP N°1492 à Paris.

Corinne MAURY

lundi 19 novembre 2007

INFO SACENC

La Sacenc est un organisme qui est censé protéger les droits des auteurs et des compositeurs, des éditeurs...Ses axes de developpement futurs tendent aussi à la protection d'autres arts.

"La matière grise artistique" n'a de valeur que dans la reconnaissance sociale du métier artistique que l'on exerce. C'est un cadre juridique adapté qui le permet.

Cette légitimité fait la difference et la distinction entre le passe temps et le plaisir des amateurs d'arts et les professionnels de l'art.

Etre un "Artiste" n'est pas un métier de "glandu"!

Madame De We Gorode a été la fervente actrice de l'installation de la Sacenc en Nouvelle Calédonie. Militante politique, puis à la Direction du service de la Culture de la Jeunesse et des Sports du gouvernement de Nouvelle Caledonie, elle est actuellement la Vice présidente du gouvernement de la Nouvelle Caledonie.

En septembre 2004, la Sacenc fut crée et operationelle suite à un combat de trente ans de cette femme engagée en Politique et Ecrivain.

Un statut juridique de l'artiste, nous a été crée en 2007 au niveau du service des patentes et du ridet.

Epaulée d'une équipe Métropolitaine et néo caledonienne, la Sacenc s'est mise en place avec des rouages de fonctionement que tout "le monde" ne comprend pas forcément.

Pourquoi faut il payer cette redevance, quand on diffuse de la musique dans les lieux public alors que l'on a déjà acheté un album ou un single?

Tout simplement parce que la chaine de l'industrie du disque dispose de multiples intermédiaires.

Un producteur se doit de payer les musiciens, les frais du studio d'enregistrement, la location du matèriel, les photos, les jaquettes, la production des stock de cd, la promotion publicitaire et se charge de la distribution etc...

L'achat d'un album par un consomateur remunère donc le producteur.

Le volume de vente de l'album à partir d'une certaine quantité permettra au producteur de rentrer dans ses frais. Une marge de 20 à 30% du prix de vente est prise par le distributeur. Ce dernier n'ayant pas l'obligation de faire de la publicité, de l' affichage dans son magasin de la promotion de l'album et n'a pas d'obligation de diffuser non plus les morceaux de l'album dans son magasin. Le producteur assume donc toutes les charges.

Le producteur beneficie aussi de la perception de redevances quand la musique qu'il a produite est diffusée dans les lieux publics.

Il se peut que la musique enregistrée soit composée et écrite par le producteur ou par les musiciens ou par l'interprète mais c'est rarement le cas.

Le système de perception de redevance a donc été prévu essentiellement pour 55% des redevances percues pour la rémunération de l'auteur et du compositeur.
La chaine d'écoute de l'album par le grand public le considère rarement.

Ainsi le système de redevances en droit français et en droit européen (different du système de copy rights Américain) est la seule et unique source de revenu pour l'auteur et le compositeur.
Le producteur le remunère souvent d'un faible forfait ou d'aucun sachant que la plus value de son travail est valorisée par ce système collectif de taxe qui permet sa rémunération.

Cette redevance est donc considerée comme un salaire pour le compositeur et l'auteur et lui est versée deux fois par an.

Il faut que donc que ce système se perenise dans le temps comme un acquis de droit et que la normalité de cette redevance soit comprise par tous. Autant au niveau de son mode de fonctionement que de son mode de calcul.

Toutes les radios en présence sur le territoire doivent s'acquitter de leur quote part de paiement.
Les lieux publics qui diffusent de la musique aussi.

Les règles de calculs de perception et de redevances doivent etre expliquées et appliquées correctement envers les auteurs et les compositeurs.

Si le marché faible en population ne permet pas d'appliquer les règles de droit et de fonctionnement français et européen en terme de calcul des perceptions et des redevances, à nous d'en créer d'autres pour la viabilité du système.

Un organisme qui a le mérite d'exister depuis près de trois ans afin qu'il s'inscrive dans une continuité de normalité sociale et juridique.

Etre artiste en Nouvelle Calédonie, c'est disposer d'un statut, c'est une profession et ce n'est pas qu'une simple passion.

Il faut rapeller qu’au niveau du système de répartition Européen et Français de la Sacem France, partenaire de la Sacenc ainsi qu’au niveau des conventions internationales en Europe avec la sabam, la suisa etc… la répartition des prélèvements financiers auprès des diffuseurs quels qu’ils soient se décompose tel quel :

Sur l00% des sommes prélevées.

Une partie est reversée à l’auteur le compositeur l'arrangeur.
Une autre partie au producteur et à l’interprète.

En Nouvelle Caledonie, il a été décidé que sur ces 100% des sommes récupérées auprès des diffuseurs :

5% serviraient à l’aide en gestion effectué par la Sacem France envers la Sacenc.
35% pour l’aide au fond de roulement de la Sacenc.

65% doivent donc nous être réparti.

Les règles de calcul établies pour cette répartition envers les auteurs compositeurs ne semblent pas avoir été respectées.

Corinne MAURY